T&R a eu l’opportunité de constater qu’une entreprise de Saint Laurent sur Sèvre (85) rejette chaque année plus de 15 tonnes de COV * ( toluène et xylène ) dans l’atmosphère locale. On peut craindre qu’une partie de ces molécules ne soit respirée par les habitants qui n’ont pas été informés.
L’administration a donné son feu vert à la poursuite de cette pratique sans qu’une étude incontestable , et claire pour T&R, ait été faite sur qui respire éventuellement ces COV dans la commune , sur la toxicité réelle en cas d’inhalation chronique, etsur l’assurance du respect des normes (dixit le rapport de l’Autorité Environnementale* – AE).
T&R a décidé d’examiner la situation à partir du dossier préfectoral, notamment l’étude d’impact qui conclut à un « risque acceptable », notion qui nous paraît inacceptable en fait. Nous avons rencontré les responsables qui ont changé certains produits pour limiter les risques potentiels.